Séchage de poisson

Méthode de séchage de poisson en milieu rural en Côte d'Ivoire.

Régime de banane

Plusieurs plants de bananier sont attaqués ce qui affecté la qualité de la recolte.

Transformation du manioc

En Côte d'Ivoire l'attiéké est l'un des principaux produits dérivé du manioc.

Plants d'ananas

L'ananas est un fruit qui pousse bien en Côte d'Ivoire.

Bureau d'Eclosion

L'équipe de Direction d'Eclosion après une séance de travail.

mercredi 26 février 2014

Salon international de l’agriculture de Paris 2014 : les jeunes agriculteurs sont à l’honneur

Le salon international de l’agriculture de Paris est la plus grande foire agricole de France. C’est le rendez-vous annuel des acteurs du secteur agricole et du grand public. Fondé en 1964, cet événement agricole est aujourd’hui, après une cinquantaine d’années d’existence, une rencontre de l’élevage et de la génétique. C’est aussi une excellente vitrine pour la promotion des produits des terroirs, la cuisine locale et étrangère et même le tourisme vert. 

L’édition 2014 du salon international de l’agriculture a commencé depuis le 22 février au parc des expositions de la porte de Versailles. Le président François Hollande a honoré le salon de sa présence en visitant les différents stands le jour de l’ouverture de cette 51e édition du salon. Il a tenu à encourager les acteurs du monde agricole pour leurs efforts afin de garantir la sécurité alimentaire.  La fin du salon est prévue pour le dimanche 02 mars 2014.

Les jeunes agriculteurs sont à l’honneur au cours de cette rencontre agricole internationale. Une part belle leur a été faite afin de permettre à ces jeunes de faire montre de leur savoir-faire. Ils ont réussi à exposer leurs produits dans les différents stands. De plus, ces derniers ont eu la chance de rencontrer des structures agricoles susceptibles non seulement de les encadrer dans leurs tâches mais ils pourront bénéficier d’une assistance financière. Par ailleurs, les jeunes agriculteurs pourront profiter de partenariats afin de conquérir de nouveaux marchés.

Stéphane HOUPHOUET
Communication.


mardi 18 février 2014

ÉCLOSION DÉVOILE SA STRATÉGIE.

-ÉCLOSION DÉVOILE SA STRATÉGIE-

Agriculture et Emploi Jeunes(1), Agriculture, Médias et TIC(2), Nutrition, Sécurité Alimentaire et droit à l’Alimentation(3). Tels sont les trois axes qui vont guider l’action de l’association ECLOSION au cours des trois années à venir. Le choix de ces domaines d’intervention n’est pas le fait du hasard. En effet, il découle d’une analyse pertinente de l’environnement touchant à la vision de l’association.
Agriculture et Emploi Jeune (1)
Les chômeurs en Côte d’Ivoire sont majoritairement jeunes. Deux tiers (2/3) d’entre eux ont moins de trente (30) ans (Document Stratégique de réduction de la Pauvreté, DSRP 2009). Cette situation accentue la pauvreté au sein de la population jeune. En outre, l’agriculture se présente comme le meilleur atout de réduction de la pauvreté. En effet, une réduction de la pauvreté de 1% au niveau rural et national peut être attribuée à 73% à la croissance agricole (Plan National d’Investissement Agricole, PNIA 2012-2015). ECLOSION s’engage donc à contribuer à l’accroissement de l’emploi des jeunes à travers l’agriculture. Deux projets permettront de mettre en pratique cette volonté d’ECLOSION.

A travers le projet « Agriculture et Emploi Jeunes », ECLOSION entend faire la promotion des jeunes entrepreneurs agricoles, de renforcer leurs capacités, de susciter et former de nouveaux entrepreneurs agricoles.

Quant au « projet champs pilote », il consistera à joindre l’acte à la parole à travers la création d’exploitation agricole par la mutualisation des ressources des membres et de toute bonne volonté. Il constituera l’école pratique de l’ « agripreuneur »

 Agriculture médias et TIC (2).

Les médias amplifient le message de l’agriculture et ECLOSION l’a bien compris. C’est pour cela que l’association mettra en route un magazine d’informations agricoles animé par des jeunes communicateurs. En outre, Une production d’émissions radiophoniques permettra de promouvoir valablement le secteur primaire et ses activités.

Dans l’action d’ECLOSION, une attention particulière sera accordée à l’exploitation des TIC dans le développement agricole : Documentation et promotion des initiatives agriculture-TIC, formation des acteurs à une meilleure exploitation des TIC.

 Nutrition, Sécurité alimentaire et droit à l’alimentation (3)

Promouvoir, Eduquer, Susciter, ainsi se résume l’action d’ECLOSION dans le cadre de ces notions importantes que sont la nutrition, la sécurité alimentaire et le droit à l’alimentation. Dans cet axe l’ASSOCIATION s’adressera essentiellement aux jeunes en vue de les éduquer et de susciter parmi eux des acteurs.

La stratégie d’ECLOSION sera constamment huilée par l’interaction entre divers acteurs et les jeunes à travers des conférences débats. Ces conférences permettront, autrement à la jeune structure d’assurer sa mission de veille et d’éveil qu’elle s’est assigné dès sa naissance.

 

La Direction exécutive.

jeudi 13 février 2014

FONDS NATIONAL DE LA JEUNESSE : LES « AGRIPRENEURS » MÈNENT LE BAL.

---------------FONDS NATIONAL DE LA JEUNESSE : 
LES « AGRIPRENEURS » MÈNENT LE BAL.---------------




Sur le total des six cents quatre-vingt-dix-neuf (699) projets soumis par les Jeunes au fonds National de la Jeunesse près de Trois cents treize (313) d’entre eux sont relatif au monde agricole (Agriculture, élevage et transformation).  Ce qui équivaut au premier rang avec un score d’environ 44% des projets.
         Le Fonds National de la Jeunesse est un instrument mis en place, depuis le 10 Octobre 2012, par l’état ivoirien dans le but de soutenir toute initiative des jeunes pouvant aider à leur insertion socio-économique. Conformément à cette mission, le FNJ, reçois les projets de jeunes entrepreneurs, analyse ces projets soumis et procède en cas de pertinence à la mise à disposition d’un financement permettant d’exécuter le projet. Le résultat de tout ce processus est de donner de l’emploi aux jeunes. En effet, le taux de chômage de la population jeune avoisine les 24% (pour ce qui concerne la tranche de 15 à 24 ans selon le DSRP).
Comme acquis jusqu’à la date du 23 Mai 2013, l’équipe dirigée par le Directeur Général du Fonds, Lacina BAMBA, a financé vingt et un projets de jeunes. Sur ces projets, quinze sont liés au domaine agricole soit 70%.
Au regard de ces chiffres on peut dire que les jeunes entrepreneurs agricoles sont motivés. Ainsi, l’agriculture se présente comme la première porte d’entrée en activité des jeunes entrepreneurs.

L’Association ÉCLOSION quant à elle entend donner la parole dans les prochains jours à tous ces jeunes qui écriront certainement les lettres de noblesses de l’agriculture ivoirienne.


Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif

mardi 11 février 2014

L'ATTIEKE DE GRAND-LAHOU BIENTÔT RECONNU AU PLAN INTERNATIONAL

---------------------L'ATTIEKE DE GRAND-LAHOU BIENTÔT RECONNU AU PLAN INTERNATIONAL-------------------

Les membres d’ÉCLOSION en compagnie des chercheurs du CSRS
A l’occasion de la Semaine de Promotion de la recherche ivoirienne (SEPRI) qui s’est tenu les 23 et 24 Janvier 2014, plusieurs centres de recherche ont exposé le fruit de leurs recherches. Le Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS) qui était représenté à cette semaine nous a présenté un aliment connu des ivoiriens : l’attiéké.

C’est le Département Biodiversité et Sécurité Alimentaire (DBSA / Economie agricole) du CSRS   qui nous ont présenté l’attiéké  (une semoule de manioc cuit à la vapeur à partir de la pate fermenté de manioc). De toutes les zones productrices de cet aliment, c’est de l’attiéké de Grand-Lahou reconnu comme étant l’un des meilleurs qui a focalisé l’attention des chercheurs du CSRS. Grand-Lahou est la région où vit le peuple Avikam, situé sur le littoral à environ 90 km d’Abidjan. L’attiéké est une nourriture très prisée. Il est consommé par plus de 50% des Abidjanais, il est également consommé dans plusieurs pays voisins. Il existe plusieurs types d’attiékés selon les ethnies et les technologies de production. Dans le souci de la caractérisation de chaque type d’attiéké, l’attiéké « origine » Grand -Lahou fait l’objet d’études. Les caractéristiques sensorielles, nutritives, organoleptiques, physicochimiques et sanitaires ont été passées en revue pour l’établissement d’un label « Produit du terroir ». Ce label permettra de lutter efficacement contre les usurpations en protégeant la production de qualité et fera bénéficier de meilleurs revenus aux acteurs de la filière. L’attiéké de Grand-Lahou pourra bénéficier de l’Indication géographique protégée (IGP) de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi) comme le poivre de Penja  et le miel blanc d'oku au Cameroun. Un label qui est, gage de qualité, de contrôle des circuits de production et de commercialisation. En effet l’attiéké de Grand- Lahou est un patrimoine culturel du peuple Avikam et la production est liée à un savoir-faire spécifique depuis l’existence de ce peuple chaleureux.


KOUADJA Sonia          &      KPLA Florence
Master 2 Biologi Animale  & Master 2 Botanique

samedi 8 février 2014

CULTIVER LE CACAO DANS DES SAVANES EST-IL BENEFIQUE POUR LES AGRICULTEURS ?

-----------CULTIVER LE CACAO DANS DES SAVANES EST-IL BENEFIQUE POUR LES AGRICULTEURS-----------

En Cote d’Ivoire le cacao se cultive dans les zones forestières au Sud, à l’Est et à l’Ouest. Cette localisation de la cacao-culture entraîne le phénomène d’exode rural, la ruée des populations active vers ces zones. La conséquence est que le Sud est plus peuplé que le Nord et Centre. En plus, on a un défrichement abusif de la  forêt. Les cultures de rente (café, cacao)  existe dans  quelques savanes arborés au Centre du pays. Les plantations dans ces zones naturellement pas favorables au binôme café cacao peuvent être développées par des systèmes d’agroforesteries testés au Cameroun par  des chercheurs du CIRAD (centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) et leurs partenaires camerounais, qui ont analysé le fonctionnement de cacaoyères, qui, avaient des rendements similaires à ceux des plantations établies en forêt. Les producteurs de ce pays ont cultivé la biodiversité pour transformer une savane en cacaoyère productive et ont installé également les cacaoyers sur des savanes dominées par une  mauvaise herbe, l’imperata (Imperata cylindrica). Comment parviennent-ils à convertir ces savanes, quelles associations et successions de cultures ont-ils mises en place pour atteindre ce résultat ?
Pour répondre à ces questions, une équipe du Cirad et de l’Irad (institut de recherche agricole pour le développement) a étudié les pratiques paysannes dans la région de Bokito, où près de la moitié des cacaoyères sont plantées sur des savanes (Juin 2013).
La première étape consiste à éliminer l’imperata, un adventice particulièrement nuisible pour les cultures. Pour ce faire, les agriculteurs sèment des palmiers à huile ou plantent des cultures annuelles où l’ombrage de ces plantes fait disparaître l’imperata car étant une herbe elle a besoin de beaucoup de soleil pour son développement (espèce héliophile).
Grâce aux palmiers à huile semés à haute densité, les agriculteurs obtiennent, en 4 à 5 ans, un couvert dense, qui empêche la repousse de l’imperata. La deuxième étape, ils réduisent ensuite le nombre des palmiers et plantent alors des cacaoyers à raison de 1 500 plants par hectare, ainsi que des arbres fruitiers comme l’oranger, le safoutier, l’avocatier et le colatier. Ils préservent ou introduisent certains arbres forestiers pour fournir l’ombrage nécessaire aux jeunes cacaoyers, mais aussi pour améliorer la fertilité des sols. Pendant 2 à 3 ans encore, ils désherbent la parcelle à la main jusqu’à ce que la cime des arbres forme un couvert continu.

L’autre méthode de lutte contre de l’imperata consiste à semer, dans les parcelles, préalablement labourées manuellement, des cultures annuelles à cycle court − arachide, courge, maïs. Au bout de 2 à 3 ans, les agriculteurs plantent les cacaoyers et, comme dans le premier cas, des arbres fruitiers et des palmiers à huile, tout en préservant certains arbres forestiers. Les cultures annuelles sont associées aux espèces ligneuses pendant encore 2 à 3 ans. Les agriculteurs gèrent ensuite leurs parcelles de manière à maintenir un ombrage propice à la croissance des cacaoyers, en éliminant certains arbres en surnombre et en remplaçant les palmiers abattus et les cacaoyers malades ou morts. Le système agroforestier atteint ainsi progressivement son équilibre et améliore la fertilité des sols (augmente sans apport d’engrais, la teneur en carbone des sols est de 2,2 % dans les plantations âgées de 10 ans, contre 1,7 % dans les savanes voisines ; elle atteint 3,1 % dans les plantations de plus de 40 ans) ; la biodiversité de ces cacaoyères de savane tend à progresser avec le temps : l’indice de Shannon-Weaver passe de 1,97 dans les plantations de moins de 10 ans à 2,26 dans celles de plus de 40 ans. Les chercheurs ont ainsi recensé, dans un échantillon de 47 cacaoyères, près de 5 000 arbres associés appartenant à 67 espèces. Ces systèmes agroforestiers permettent aux agriculteurs de restaurer les sols dégradés des savanes et de produire, sans aucun intrant et dans des conditions peu favorables à la culture du cacaoyer, autant de cacao marchand que les cacaoyères de forêt.  

Florence KPLA
Master 2 Botanique
chistyflow@hotmail.fr

jeudi 6 février 2014

DECOUVREZ L'AFRICAN CASHEW ALLIANCE (ACA)


------DÉCOUVREZ L'AFRICAN CASHEW ALLIANCE (ACA)------



 
         De tous les participants exerçant dans le domaine agricole ayant pris part au forum Investir en Côte d’Ivoire 2014 (ICI 2014), l’un à particulièrement attiré notre attention. Il s’agit de « AFRICAN CASHEW ALLIANCE (ACA) ».
L’association ÉCLOSION vous propose dans cet article de faire connaissance avec cet acteur stratégique du développement de la filière cajou en Afrique.
C’est en 2005 que l’ACA a été créé avec 23 membres fondateurs dont des agriculteurs, des transformateurs, des commerçants ainsi que des agences de développement. Inaugurée en 2006, l’Alliance compte aujourd’hui plus de 197 membres.
Avec pour vision avoir « une industrie africaine du cajou compétitive à l’échelle mondiale qui profite à l’ensemble de la chaîne de valeurs – des producteurs aux consommateurs - » l’organisation se fixe plusieurs objectifs à savoir :
-       Améliorer la transformation du cajou en Afrique ;
-       Améliorer la compétitivité et la pérennité de l’industrie du cajou africain ;
-       Faciliter la coopération secteur publique-secteur privé dans la filière du cajou.
Pour atteindre ces objectifs, l’ACA met un accent sur la fourniture d’une assistance technique et la facilitation des investissements, la promotion des liens commerciaux et des normes internationales et le partage d’informations et de meilleurs pratiques.
Pour être membre de l’Alliance, il faudra s’acquitter de droits d’adhésion. Une fois membre l’organisation permet de bénéficier de l’ensemble de ses services : Conseil, assistance technique, appui à la commercialisation…  
L’institution fait la promotion d’un Label : « le label ACA » qui permet d’attester la conformité aux normes de qualité, se sécurité sanitaire des aliments et de travail admises sur le plan international.
L’institution est basée à Accra au Ghana.
Le prochain grand événement de l’alliance est « ACA World Cashew Festival & Expo 2014 » qui se tiendra à Mombasa au Kenya du 15 au 18 Septembre 2014.




mercredi 5 février 2014

FORUM ICI 2014: L'AGRICULTURE PARMI LES PRIORITÉS.

------ FORUM INVESTIR EN CÔTE D'IVOIRE 2014: L'AGRICULTURE PARMI LES PRIORITÉS------

Le Forum Investir en Côte d’Ivoire qui s’est tenu du 29 Janvier au 1er Février 2014 autour du thème : « Le secteur privé, levier d’une intégration régionale réussie, moteur de croissance pour la Côte d’Ivoire » a connu une affluence encourageante. En effet, ce sont plus de 3000 investisseurs qui y ont participé avec à la clé près 443 milliards d’intention d’investissement.
L’agriculture était en première place au cours de ce forum, en témoigne les noms attribués aux différents stands réservés aux entreprises : Karité, Ananas, Palmier, Cacao, Café, Cajou…
Au-delà de cette « déco agricole », les débats au cours de ce forum se sont fortement penchés sur le développement du secteur primaire. Pour preuve, le jeudi 30 Janvier (lors de la deuxième journée du forum), les participants ont planché sur le thème : « Agro-business : la conquête industrielle ».

Pour les autorités ivoiriennes, ce thème fut l’occasion de présenter les opportunités d’investissement dans le secteur agricole et faire part de toutes les mesures prises par le gouvernement pour accompagner  le développement de ce secteur.
Ainsi, le Ministre de l’agriculture, dans son intervention à fait remarquer que seul 40% des terres arables sont exploités et que le climat en Côte d’Ivoire est favorable à l’agriculture. Il a informé les investisseurs que plusieurs réformes ont été faites pour certaines filières dans le but de les rendre plus performantes. Le ministre n’a pas manqué d’informer sur le nouveau cadre pour les investissements qui permettra certainement d’atteindre une croissance agricole de 9%.
Pour atteindre ces objectifs, ces objectifs, le gouvernement compte sur l’implication du secteur privé à commencer par les entreprises participant à ICI 2014.
Avec ce forum, le potentiel agricole de la Côte d'Ivoire a été encore affirmé et nous espérons que les intentions d'investissement seront concrétisées pour le bienfait du monde agricole. 
Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif
euphry225@yahoo.fr


lundi 3 février 2014

APPEL A CANDIDATURE MASTER-DOCTORAT DE LA COMMISSION DE L'UNION AFRICAINE

----APPEL A CANDIDATURE MASTER-DOCTORAT DE LA COMMISSION DE L'UNION AFRICAINE---



La Commission de l’Union Africaine, à travers l’Université Pan Africaine (UPA), lance un appel à candidature pour les jeunes candidats qualifiés, talentueux et entreprenants de pays africains et de la diaspora en vue de rejoindre des programmes d'études de Maîtrise ou de Doctorat.
L’UPA est une initiative des Chefs d'État et de Gouvernement Africain de l'Union africaine. Il s'agit d'un premier réseau continental d’'Université dont sa mission est de fournir un enseignement du troisième cycle orientée vers la réalisation d'une Afrique prospère, intégrée et pacifique. 
Cette Université qui comporte 4 instituts n’a pas oublié le développement agricole. En effet, elle offre 3 curricula qui sont important pour le développement d’une agriculture durable. Ce sont :
-       Maîtrise en sciences et Doctorant en Amélioration des plantes ;
-       Maîtrise en sciences et Doctorat en Gestion de l’environnement ;
-       Maîtrise en sciences de l’eau ;
-       Maîtrise en sciences et Doctorat Biologie moléculaire et Biotechnologies.

Télécharger l’appel à candidature

Accéderà l’inscription en ligne

Source: www.au.int

Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif.

ATELIER BILAN DU PROJET DE NUMERISATION DES DOCUMENTS CNRA

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ATELIER BILAN DU PROJET DE NUMÉRISATION DES DOCUMENTS CNRA.


Le jeudi 23 Janvier 2013, s’est tenue à la Direction Régionale du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) d’Abidjan, l’atelier bilan du projet relatif à la numérisation, la gestion et la diffusion des documents du CNRA. Ce projet, réalisé avec l’appui du Forum pour la Recherche Agricole en Afrique (FARA) à débuté depuis 2012. Coordonné par M. KOUASSI Celestin, ce projet vise plusieurs objectifs d’assurer le traitement électronique des documents du CNRA, leur conservation et leur diffusion avec à la clé la mise en place d’une bibliothèque numérique. Ce projet viens à point nommé pour une institution comme le CNRA. En effet, comme l’a si bien souligné M. DADY Demby, représentant du FARA à cet atelier, il permettra de diffuser les acquis de la recherche sur internet. C’est un projet qui permettra en outre d’éviter des catastrophes documentaires telle que les énormes pertes de fonds documentaires qu’ont subi plusieurs institutions du fait de la crise en Côte d’Ivoire.
Selon le coordinateur, le bilan de ce projet est positif en ce sens que aujourd’hui le CNRA dispose d’une bibliothèque numérique de plus de 300 documents consultable en intranet. La levée des contraintes liés aux questions de propriété intellectuelle permettra de mettre ces documents à la disposition d’un grand nombres d’utilisateurs à travers internet.
Outre cet acquis principal, le projet à permis le renforcement des capacités humaines (par la formation des employés à la numérisation) mais aussi, l’équipement en matériel de numérisation du CNRA.
Cependant, le travail de numérisation n’est pas terminée et elle doit se poursuivre. Mais déjà, les résultats de ce projet à grande portée permettra certainement d’aider d’autres pays. 

Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif d'ECLOSION