Jeunes TIC et agriculture

SALON INTERNATIONAL DE L'AGRICULTURE DE PARIS 2014: LES JEUNES AGRICULTEURS A L'HONNEUR.

Le salon international de l’agriculture de Paris est la plus grande foire agricole de France. C’est le rendez-vous annuel des acteurs du secteur agricole et du grand public. Fondé en 1964, cet événement agricole est aujourd’hui, après une cinquantaine d’années d’existence, une rencontre de l’élevage et de la génétique. C’est aussi une excellente vitrine pour la promotion des produits des terroirs, la cuisine locale et étrangère et même le tourisme vert. 

L’édition 2014 du salon international de l’agriculture a commencé depuis le 22 février au parc des expositions de la porte de Versailles. Le président François Hollande a honoré le salon de sa présence en visitant les différents stands le jour de l’ouverture de cette 51e édition du salon. Il a tenu à encourager les acteurs du monde agricole pour leurs efforts afin de garantir la sécurité alimentaire.  La fin du salon est prévue pour le dimanche 02 mars 2014.

Les jeunes agriculteurs sont à l’honneur au cours de cette rencontre agricole internationale. Une part belle leur a été faite afin de permettre à ces jeunes de faire montre de leur savoir-faire. Ils ont réussi à exposer leurs produits dans les différents stands. De plus, ces derniers ont eu la chance de rencontrer des structures agricoles susceptibles non seulement de les encadrer dans leurs tâches mais ils pourront bénéficier d’une assistance financière. Par ailleurs, les jeunes agriculteurs pourront profiter de partenariats afin de conquérir de nouveaux marchés.

Stéphane HOUPHOUET
Communication.

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-ÉCLOSION DÉVOILE SA STRATÉGIE-

Agriculture et Emploi Jeunes(1), Agriculture, Médias et TIC(2), Nutrition, Sécurité Alimentaire et droit à l’Alimentation(3). Tels sont les trois axes qui vont guider l’action de l’association ECLOSION au cours des trois années à venir. Le choix de ces domaines d’intervention n’est pas le fait du hasard. En effet, il découle d’une analyse pertinente de l’environnement touchant à la vision de l’association.
Agriculture et Emploi Jeune (1)
Les chômeurs en Côte d’Ivoire sont majoritairement jeunes. Deux tiers (2/3) d’entre eux ont moins de trente (30) ans (Document Stratégique de réduction de la Pauvreté, DSRP 2009). Cette situation accentue la pauvreté au sein de la population jeune. En outre, l’agriculture se présente comme le meilleur atout de réduction de la pauvreté. En effet, une réduction de la pauvreté de 1% au niveau rural et national peut être attribuée à 73% à la croissance agricole (Plan National d’Investissement Agricole, PNIA 2012-2015). ECLOSION s’engage donc à contribuer à l’accroissement de l’emploi des jeunes à travers l’agriculture. Deux projets permettront de mettre en pratique cette volonté d’ECLOSION.

A travers le projet « Agriculture et Emploi Jeunes », ECLOSION entend faire la promotion des jeunes entrepreneurs agricoles, de renforcer leurs capacités, de susciter et former de nouveaux entrepreneurs agricoles.

Quant au « projet champs pilote », il consistera à joindre l’acte à la parole à travers la création d’exploitation agricole par la mutualisation des ressources des membres et de toute bonne volonté. Il constituera l’école pratique de l’ « agripreuneur »

 Agriculture médias et TIC (2).

Les médias amplifient le message de l’agriculture et ECLOSION l’a bien compris. C’est pour cela que l’association mettra en route un magazine d’informations agricoles animé par des jeunes communicateurs. En outre, Une production d’émissions radiophoniques permettra de promouvoir valablement le secteur primaire et ses activités.

Dans l’action d’ECLOSION, une attention particulière sera accordée à l’exploitation des TIC dans le développement agricole : Documentation et promotion des initiatives agriculture-TIC, formation des acteurs à une meilleure exploitation des TIC.

 Nutrition, Sécurité alimentaire et droit à l’alimentation (3)

Promouvoir, Eduquer, Susciter, ainsi se résume l’action d’ECLOSION dans le cadre de ces notions importantes que sont la nutrition, la sécurité alimentaire et le droit à l’alimentation. Dans cet axe l’ASSOCIATION s’adressera essentiellement aux jeunes en vue de les éduquer et de susciter parmi eux des acteurs.

La stratégie d’ECLOSION sera constamment huilée par l’interaction entre divers acteurs et les jeunes à travers des conférences débats. Ces conférences permettront, autrement à la jeune structure d’assurer sa mission de veille et d’éveil qu’elle s’est assigné dès sa naissance.

 

La Direction exécutive.

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---------------FONDS NATIONAL DE LA JEUNESSE : 
LES « AGRIPRENEURS » MÈNENT LE BAL.---------------




Sur le total des six cents quatre-vingt-dix-neuf (699) projets soumis par les Jeunes au fonds National de la Jeunesse près de Trois cents treize (313) d’entre eux sont relatif au monde agricole (Agriculture, élevage et transformation).  Ce qui équivaut au premier rang avec un score d’environ 44% des projets.
         Le Fonds National de la Jeunesse est un instrument mis en place, depuis le 10 Octobre 2012, par l’état ivoirien dans le but de soutenir toute initiative des jeunes pouvant aider à leur insertion socio-économique. Conformément à cette mission, le FNJ, reçois les projets de jeunes entrepreneurs, analyse ces projets soumis et procède en cas de pertinence à la mise à disposition d’un financement permettant d’exécuter le projet. Le résultat de tout ce processus est de donner de l’emploi aux jeunes. En effet, le taux de chômage de la population jeune avoisine les 24% (pour ce qui concerne la tranche de 15 à 24 ans selon le DSRP).
Comme acquis jusqu’à la date du 23 Mai 2013, l’équipe dirigée par le Directeur Général du Fonds, Lacina BAMBA, a financé vingt et un projets de jeunes. Sur ces projets, quinze sont liés au domaine agricole soit 70%.
Au regard de ces chiffres on peut dire que les jeunes entrepreneurs agricoles sont motivés. Ainsi, l’agriculture se présente comme la première porte d’entrée en activité des jeunes entrepreneurs.
L’Association ÉCLOSION quant à elle entend donner la parole dans les prochains jours à tous ces jeunes qui écriront certainement les lettres de noblesses de l’agriculture ivoirienne.


Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif


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------------------- MARIUS: L’ETUDIANT AGRICULTEUR ---------------------


Marius pulvérisant un bananier
Passion, humilité et abnégation tels sont les leviers dont ce jeune étudiant ivoirien s’est servi pour faire de l’agriculture sa principale source de revenu. Aujourd’hui, titulaire d’un Master 1 en Droit, ce modèle réussi  de combinaison études-agriculture devrait inspirer plusieurs jeunes de sa génération.
Marius N’GUESSAN a choisi un chemin très peu emprunté par plusieurs de sa génération : celui de l’agriculture. Quand bien même toujours Etudiant il a embrassé ce métier trouvé difficile et parfois repoussant pour plusieurs de ses amis.
Après la crise militaro-politique de 2011, soldé par la fermeture des Universités publiques, l’option de trouver un emploi pour subvenir à ses besoins s’imposait. Marius avait le choix entre deux opportunités : Le commerce du poisson et l’agriculture. C’est sans hésiter qu’il se lance dans l’agriculture poussé par la passion qui l’animait pour ce métier depuis son jeune âge.
Après deux années d’expériences, Marius énumère fièrement les cultures qu’il a déjà pratiquées : l’aubergine, le piment, le haricot vert, le chou, la tomate, la papaye et les fruits de passion. Pour cette saison, il compte cultiver de la banane plantain. L’un des secrets de l’Etudiant-Agriculteur, comme il le dit lui-même : Il faut accepter de « commencer petit ».
Marius dans son champ de papaye

Cependant, Il reconnait que ce n’est pas un métier facile. En tant que nouvel agriculteur sans expérience, Il fait face à plusieurs difficultés.
Le premier obstacle est le manque de connaissances techniques. Pour contourner cette difficulté, Marius s’est souvent procurer les fiches techniques disponibles à travers les sites internet, dans certaines structures spécialisées et a sollicité des conseils auprès de ses voisins agriculteurs plus expérimentés que lui. Il arrive cependant que ces détours soient insuffisants pour le mettre à l’abri de surprises désagréables.
Le deuxième obstacle auquel il doit faire face est d’ordre financier. En effet, «exploiter de grandes parcelles, acheter des intrants afin d’espérer une récolte abondante ; nécessite que l’on débourse beaucoup d’argent » argumente-t-il.
Malgré tout, Marius reste optimiste. Il est conscient de l’expérience acquise et se prête volontiers aux sollicitations de conseils de jeunes agriculteurs qui débutent leur carrière.



Euphrèm N'DEPO
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------ FORUM INVESTIR EN CÔTE D'IVOIRE 2014: L'AGRICULTURE PARMI LES PRIORITÉS------

Le Forum Investir en Côte d’Ivoire qui s’est tenu du 29 Janvier au 1er Février 2014 autour du thème : « Le secteur privé, levier d’une intégration régionale réussie, moteur de croissance pour la Côte d’Ivoire » a connu une affluence encourageante. En effet, ce sont plus de 3000 investisseurs qui y ont participé avec à la clé près 443 milliards d’intention d’investissement.
L’agriculture était en première place au cours de ce forum, en témoigne les noms attribués aux différents stands réservés aux entreprises : Karité, Ananas, Palmier, Cacao, Café, Cajou…
Au-delà de cette « déco agricole », les débats au cours de ce forum se sont fortement penchés sur le développement du secteur primaire. Pour preuve, le jeudi 30 Janvier (lors de la deuxième journée du forum), les participants ont planché sur le thème : « Agro-business : la conquête industrielle ».

Pour les autorités ivoiriennes, ce thème fut l’occasion de présenter les opportunités d’investissement dans le secteur agricole et faire part de toutes les mesures prises par le gouvernement pour accompagner  le développement de ce secteur.
Ainsi, le Ministre de l’agriculture, dans son intervention à fait remarquer que seul 40% des terres arables sont exploités et que le climat en Côte d’Ivoire est favorable à l’agriculture. Il a informé les investisseurs que plusieurs réformes ont été faites pour certaines filières dans le but de les rendre plus performantes. Le ministre n’a pas manqué d’informer sur le nouveau cadre pour les investissements qui permettra certainement d’atteindre une croissance agricole de 9%.
Pour atteindre ces objectifs, ces objectifs, le gouvernement compte sur l’implication du secteur privé à commencer par les entreprises participant à ICI 2014.
Avec ce forum, le potentiel agricole de la Côte d'Ivoire a été encore affirmé et nous espérons que les intentions d'investissement seront concrétisées pour le bienfait du monde agricole. 
Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif
euphry225@yahoo.fr



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----APPEL A CANDIDATURE MASTER-DOCTORAT DE LA COMMISSION DE L'UNION AFRICAINE---



La Commission de l’Union Africaine, à travers l’Université Pan Africaine (UPA), lance un appel à candidature pour les jeunes candidats qualifiés, talentueux et entreprenants de pays africains et de la diaspora en vue de rejoindre des programmes d'études de Maîtrise ou de Doctorat.
L’UPA est une initiative des Chefs d'État et de Gouvernement Africain de l'Union africaine. Il s'agit d'un premier réseau continental d’'Université dont sa mission est de fournir un enseignement du troisième cycle orientée vers la réalisation d'une Afrique prospère, intégrée et pacifique. 
Cette Université qui comporte 4 instituts n’a pas oublié le développement agricole. En effet, elle offre 3 curricula qui sont important pour le développement d’une agriculture durable. Ce sont :
-       Maîtrise en sciences et Doctorant en Amélioration des plantes ;
-       Maîtrise en sciences et Doctorat en Gestion de l’environnement ;
-       Maîtrise en sciences de l’eau ;
-       Maîtrise en sciences et Doctorat Biologie moléculaire et Biotechnologies.

Télécharger l’appel à candidature

Accéderà l’inscription en ligne


Source: www.au.int

Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif.










ATELIER BILAN DU PROJET DE NUMÉRISATION DES DOCUMENTS CNRA.


Le jeudi 23 Janvier 2013, s’est tenue à la Direction Régionale du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) d’Abidjan, l’atelier bilan du projet relatif à la numérisation, la gestion et la diffusion des documents du CNRA. Ce projet, réalisé avec l’appui du Forum pour la Recherche Agricole en Afrique (FARA) à débuté depuis 2012. Coordonné par M. KOUASSI Celestin, ce projet vise plusieurs objectifs d’assurer le traitement électronique des documents du CNRA, leur conservation et leur diffusion avec à la clé la mise en place d’une bibliothèque numérique. Ce projet viens à point nommé pour une institution comme le CNRA. En effet, comme l’a si bien souligné M. DADY Demby, représentant du FARA à cet atelier, il permettra de diffuser les acquis de la recherche sur internet. C’est un projet qui permettra en outre d’éviter des catastrophes documentaires telle que les énormes pertes de fonds documentaires qu’ont subi plusieurs institutions du fait de la crise en Côte d’Ivoire.
Selon le coordinateur, le bilan de ce projet est positif en ce sens que aujourd’hui le CNRA dispose d’une bibliothèque numérique de plus de 300 documents consultable en intranet. La levée des contraintes liés aux questions de propriété intellectuelle permettra de mettre ces documents à la disposition d’un grand nombres d’utilisateurs à travers internet.
Outre cet acquis principal, le projet à permis le renforcement des capacités humaines (par la formation des employés à la numérisation) mais aussi, l’équipement en matériel de numérisation du CNRA.
Cependant, le travail de numérisation n’est pas terminée et elle doit se poursuivre. Mais déjà, les résultats de ce projet à grande portée permettra certainement d’aider d’autres pays. 

Euphrèm N'DEPO
Directeur Exécutif d'ECLOSION.










L’AGRICULTURE, L’UNE DES PRIORITÉS POUR RELEVER LE DÉFI DE L’EMPLOI DES JEUNES EN AFRIQUE SELON BANQUE MONDIALE./.

« L’EMPLOI DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE », Tel est le titre du nouveau rapport de la Banque Mondiale qui dresse les priorités pour relever le défi de l’emploi des jeunes en Afrique. Parut le 27 Janvier 2014, ce rapport de 282 Pages fait un diagnostic clair de la problématique de l’emploi des jeunes et propose des pistes afin de venir à bout de ce qui est devenu un défis pour tous les gouvernements Africains.
Dans ce document qui regorge de toute une stratégie en faveur de l’emploi des jeunes, l’Agriculture occupe une place importante.
Pour les Experts de la Banque Mondiale auteurs de ce rapport, un accroissement de la productivité des petits exploitants agricoles pourrait décupler les chances à l’emploi des onze millions de jeunes Africain qui devraient faire leur entrée chaque année sur le marché du travail au cours de la prochaine décennie.
Pour les auteurs, l’Afrique a les potentialités de faire face à la demande croissante en aliments dans le monde qui de plus est accentué par les cours mondiaux des denrées alimentaires qui ont atteint un pic depuis plusieurs décennies et devraient en rester là. Les atouts de l’Agriculture africaine pour exploiter cette situation de la demande alimentaire sont, selon le rapport, ses réserves abondantes de terres et d’eau. Pour la Banque Mondiale, « Si les jeunes peuvent avoir accès à ces ressources et les utiliser en conjonction avec des stratégies visant à rendre l’agriculture plus productive, les résultats pourraient être transformateurs pour la génération de revenus et la croissance économique. »

Selon le Rapport, l’Agriculture Africaine souffre de plusieurs maux qui mettent en mal sa productivité : petite tailles des parcelles cultivées, régimes fonciers incertains, incapacité pour les agriculteurs de profiter de l’économie d’échelle, manque d’intrants moderne et de mécanisation, insuffisance des infrastructures rurales (transport, électricité…) et le manque d’irrigation qui rend vulnérable aux changements climatiques. Le faible niveau d’éducation et les problèmes récurrents de santé sont également une cause de la léthargie de l’agriculture Africaine.
L’un des appels lancé par ce rapport est que : « L’agriculture doit rapidement cesser d’être une activité de dernier recours et de faible productivité pour se transformer en un secteur dont le dynamisme technique et les opportunités sont reconnus ». Pour y parvenir selon les auteurs de ce rapport de la Banque Mondiale, au moins quatre contraintes doivent être levés : Les contraintes liées aux services financiers et au crédit, aux politiques foncières, aux infrastructures et aux compétences./.


N’DEPO Akaffou Euphrèm
Directeur Exécutif de ECLOSION

Email : euphry225@yahoo.fr 







FORMATION DES ACTEURS DU MONDE AGRICOLE EN CÔTE D'IVOIRE AU WEB 2.0.

Le Centre Technique de Coopération Agricole et Rurale (CTA) intervient dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et l’accroissement de la prospérité dans les zones rurales. De plus, il facilite l’accès à l’information et aux connaissances. Il initie aussi à l’utilisation des outils internet … À cet effet, il organise plusieurs activités dans les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Dans le cadre de ses activités, le Centre Technique de Coopération Agricole et Rurale CTA en collaboration avec le Centre National de Recherche Agronomique CNRA a récemment organisé un atelier national de formation sur l’opportunité d’apprentissage des médias sociaux et du web2.0. Cet atelier s’est tenu en Côte d’Ivoire du 9 au 13 décembre précisément à Bouaké dans la région du Gbêkê. Autour de tables, des chercheurs, des producteurs, des commerçants, des communicateurs, des étudiants, des hommes d’affaires, des ONG, etc. ont reçu une formation sur le thème « web2.0 et les médias sociaux pour le développement » Cette formation, selon M. Bouan Boumi Boniface documentaliste du CNRA et initiateur du projet, devrait permettre aux participants de mieux connaître les outils Internet. Ils devraient s’en approprier pour une plus grande efficacité dans la diffusion de l’information agricole. Lors de la cérémonie d’ouverture, le directeur régional du CNRA de Bouaké n’a pas manqué de remercier le CTA pour cette belle opportunité. Pour lui, cela va aider aux partages des connaissances pour une meilleure promotion des acteurs et de leurs activités. Les participants ont eu des cours sur 8 modules que sont : la recherche en ligne ; l’information en libre-service ; la collaboration à distance ; la communication vocale sur Internet ; la cartographie en ligne ; la publication en ligne ; le réseautage social et e-learning.

Stéphane HOUPHOUET
Chargé de communication.

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