Agriculture et Développement Durable

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---Une nouvelle série de guide intituler: Produire plus avec moins cas du manioc!---

Décréter comme année de l'agriculture familiale, la FAO n’a cesser de poser des actions visant à aider les acteurs du monde agricole à renforcer leurs capacités et à améliorer leurs systèmes de production. C’est dans cette optique qu’une série de guides pratiques « Produire plus avec moins » a été instaurée dont le premier est : le manioc guide pour une intensification durable de la production. Cet ouvrage publié en mars 2014 par la FAO, regorge un bon nombre d’informations pratiques essentielles pour une amélioration considérable des cultures de base pour les petits producteurs.


Ce guide s’articule sur :

  • -         La promotion de la culture du manioc car ces débouchés partent du ménage jusqu’à l’industrie de transformation agricole à tel enseigne qu’on peut la considérer comme la culture du XXIe siècle.
  • -          Le système de production agricole qui établi les différents types de techniques culturales respectueuses de l’environnement qu’on peut choisir pour atteindre un rendement élevé pour une dépense minimale.
  • -          Le choix de la variété et du matériel végétal doit provenir d’une complicité entre agriculteurs et chercheurs sans oublier les ONG et les associations d’agriculteurs qui font le relais entre ces deux parties.
  • -          Une manière efficace et intelligente de la gestion de ressource en eau.
  • -          Une utilisation nouvelle et judicieuse des intrants en adéquation avec le processus écosystémique représentant une base durable de la nutrition des cultures.
  • -          La lutte contre les ravageurs et les maladies par des techniques non chimiques qui utilisent des variétés de flore et de faune comme appât ou comme prédateur dans la culture d’une plante racine.
  • -          Les informations et les pratiques de récolte et de post-récolte énumérées judicieusement en harmonie avec le système politique agricole existant dans les pays tropicaux.
  • -          Les étapes à suivre par les pouvoirs publics afin de motiver les petits exploitants à intégrer le programme de développement durable de la culture du manioc et aussi d’appuyer les instituions de recherche et de vulgarisation.

Ce guide est bon dans la mesure où il permet d’établir un programme agricole efficace pour une intensification durable du manioc. S’inspirant de ce guide, les décideurs déterminent la marche à suivre pour une filière de manioc active pour ensuite les diriger vers l’aboutissement certain de ces objectifs concernant la pauvreté, le développement économique, la sécurité alimentaire, etc. Les institutions de recherches et les acteurs du monde agricole peuvent aussi utiliser ce guide pour une action plus efficace. 

Jean-marc KPLA
Ingénieur Agroalimentaire

 

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-------------------------A la découverte du CNF!---------------------------

Le CNF est le Centre National de Floristique, il est situé en Cote d’Ivoire, dans la ville d’Abidjan, plus précisément dans le domaine de l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody en face de l’UFR des Sciences Economiques et de Gestion.
Il a été créé le 11 Juillet 1973 par le décret n°73-347, il comprend un conservatoire et un jardin botanique de référence en Afrique de l’Ouest. Ce centre abrite les bases de données de plusieurs pays de la sous-région.
Le CNF est actuellement sous la direction du Professeur IPOU Ipou Joseph et il est aidé dans sa tache par un secrétariat, des techniciens et des chercheurs.

Les missions du CNF
  • -          La réalisation des études botaniques (qui consiste en la rédaction de la flore complète, en l’élaboration de cartes de végétation ; des études des plantes et tout inventaire floristique).
  • -          L’exécution de toute étude sur les plantes médicinale;
  • -          La réalisation d’études se rapportant à la protection de la flore;
  • -          La conservation de l’Herbier National, base statistique et chronologique de l’inventaire de la flore;
  • -         La constitution d’un Musée Botanique et l’extension du Jardin Botanique, ensemble didactique réunissant les collections floristiques et les matériaux nécessaires aux biologistes et autres chercheurs.

Comment est organisé le CNF ?

Le CNF comprend plusieurs entités en son sein:
  1.   Le jardin botanique correspond à la partie boisée avec un arboretum de 5ha et une jachère de 6ha. 
  2.   L’Herbier localisé au sein du bâtiment principal du CNF, l’Herbier national renferme environ 19500 numéros existant en 2 ou 3 exemplaires soit un total de 58500 spécimens. 
  3.   Le Musée botanique renferme une centaine d’objets en organes végétaux séchés et de quelques phytomédicaments améliorés. 
  4.    La bibliothèque qui abrite une collection d’ouvrage de botaniques, flores et travaux de recherches.

Que pouvons-nous faire au sein du CNF?

  • Les recherches et perspectives développés au CNF sont toutes les études botaniques et leurs applications, mais surtout est un excellent repère pour retrouvé la flore nécessaire pour une agriculture biologique pertinente.  Avec  l’UFR BIOCIENCES, le CNF assurent l’encadrement et la formation des étudiants et des chercheurs juniors.
  •  Les visites individuelles ou organisées sont réalisées par les élèves et les étudiants; enseignants et/ou chercheurs; pharmaciens; médecins; traditheurapeutes; ONG et ONG de l’environnement.
  • Le CNF travail énormément avec les institutions agricoles et toute association faisant la promotion de l’agriculture.

Vue du jardin botanique
                                                                                                                               
                        
                         
L’Herbier 










Kouadja Sonia                                                                                                          Kpla Florence
Master 2 de Biologie Animale                                                                       Master 2 de Botanique

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Bienvenue sur la page de Agriculture et Développement Durable

-------- LA GASPILLAGE ALIMENTAIRE PORTE ATTEINTE A L'ENVIRONNEMENT SELON LA FAO-------



Beaucoup de personnes pensent que les déchets alimentaires sont une substance inoffensives qui emprunte le chemin de la décharge, donc de toutes les façons aucune raison de s’inquiéter. Faux, au contraire les aliments manquant d’air et de lumière (condition des décharges) produisent le méthane (CH4) un gaz à effet de serres.
 Depuis 2011, la FAO a mis à la disposition du public un rapport d’évaluation sur les pertes alimentaire mondiales et les déchets alimentaires. Cette étude montre que, chaque année, 1/3 de tous les aliments destinés à la consommation humaine dans le monde est perdu ou gaspillé. De toute évidence ce gaspillage alimentaire représente une occasion manquée d’améliorer la sécurité alimentaire mondiale et aussi d’atténuer l’impact environnementale mondiale.
A ce jour, aucune étude n’a analysé les impacts du gaspillage alimentaire mondial du point de vue environnemental. Cette étude s’appuis sur des travaux antérieur de la FAO concernant le volume d’aliments gaspillés et de là ; va plus Loin en s’intéressant à l’impact de ces pertes, tout le long de la chaîne d’approvisionnement, du champ à la fin de vie de l’aliment, en s’accentuant sur le climat, l’eau, la terre et la biodiversité.
Il en ressort de ce rapport que 1,3 gigatonnes d’aliments gaspillé dans le monde et que sans tenir compte d’émission de gaz à effet de serres, l’empreinte carbone est de 3,3 gigatonne d’équivalent CO2 jouant ainsi sur le climat. Globalement, l’empreinte de l’eau bleue (c'est-à-dire la consommation de surface et ressources en eau souterraine) des déchets alimentaires est d’environ 250 km3. Enfin la nourriture produite et non consommée occupe inutilement près de 1,4 milliards d’hectares de terres. Le gaspillage alimentaire composé indirectement de la monoculture et de l’expansion de l’agriculture abusive agit sur la perte de la biodiversité y compris la diversité de la faune.
L’impact négatif du gaspillage alimentaire sur le climat, l’eau, la terre et la biodiversité représente d’énorme coût pour la société mais, ceux-ci n’ont pas été quantifiés. Cependant, on retient que le coût économique du gaspillage alimentaire est d’environ 750 milliards de dollars.
Bien que du point de vue de l’évaluation environnementale, définir un classement des points à risques est précaire, il est néanmoins possible de distinguer un certains nombre de conclusion que voici :
-          Le gaspillage des céréales apparaît comme un problème important pour l’environnement faut de son impact majeur sur le carbone, l’eau bleue et la terre.
-          Le gaspillage de la viande génère un impact considérable sur l’environnement en termes d’occupation de sol arable et d’empreinte carbone
-          Le gaspillage des fruits et légumes génèrent un impact environnemental surtout sur l’eau bleue et l’empreinte carbone
Avec de tels chiffres, il semble claire que la réduction du gaspillage alimentaire à l’échelle mondial, régionale et national auront un effet positif important sur les ressource naturelles et de là sur notre société. C’est pourquoi le PNUE, FAO et leurs partenaires ont lancés une nouvelle campagne globale dénommée « Pensez, Manger, Préservez-Réduisez votre empreinte ». De simples actions entreprises par les consommateurs et les distributeurs alimentaires peuvent réduire de manière significative les 1,3 milliards de tonnes de nourriture perdue ou gaspillé. Un guide contenant des recommandations sur comment réduire ces perte est publié à l’issue de cette étude.


Jean Marc KPLA


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------DÉCOUVREZ L'AFRICAN CASHEW ALLIANCE (ACA)------



         De tous les participants exerçant dans le domaine agricole ayant pris part au forum Investir en Côte d’Ivoire 2014 (ICI 2014), l’un à particulièrement attiré notre attention. Il s’agit de « AFRICAN CASHEW ALLIANCE (ACA) ».
L’association ÉCLOSION vous propose dans cet article de faire connaissance avec cet acteur stratégique du développement de la filière cajou en Afrique.
C’est en 2005 que l’ACA a été créé avec 23 membres fondateurs dont des agriculteurs, des transformateurs, des commerçants ainsi que des agences de développement. Inaugurée en 2006, l’Alliance compte aujourd’hui plus de 197 membres.
Avec pour vision avoir « une industrie africaine du cajou compétitive à l’échelle mondiale qui profite à l’ensemble de la chaîne de valeurs – des producteurs aux consommateurs - » l’organisation se fixe plusieurs objectifs à savoir :
-       Améliorer la transformation du cajou en Afrique ;
-       Améliorer la compétitivité et la pérennité de l’industrie du cajou africain ;
-       Faciliter la coopération secteur publique-secteur privé dans la filière du cajou.
Pour atteindre ces objectifs, l’ACA met un accent sur la fourniture d’une assistance technique et la facilitation des investissements, la promotion des liens commerciaux et des normes internationales et le partage d’informations et de meilleurs pratiques.
Pour être membre de l’Alliance, il faudra s’acquitter de droits d’adhésion. Une fois membre l’organisation permet de bénéficier de l’ensemble de ses services : Conseil, assistance technique, appui à la commercialisation…  
L’institution fait la promotion d’un Label : « le label ACA » qui permet d’attester la conformité aux normes de qualité, se sécurité sanitaire des aliments et de travail admises sur le plan international.
L’institution est basée à Accra au Ghana.
Le prochain grand événement de l’alliance est « ACA World Cashew Festival & Expo 2014 » qui se tiendra à Mombasa au Kenya du 15 au 18 Septembre 2014.



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Lors de la conférence de Rio, la communauté scientifique a fait prévaloir que l’évolution récente de l’importance et de la nature de l’activité humaine était à l’origine d’une récente et forte accélération du processus naturel d’extinction des espèces. Au nombre des facteurs d’origine anthropique identifiés actuellement comme responsable de cette érosion, figure en seconde place, après la modification des milieux, l’introduction de plantes hors de leur aire de repartions. Ainsi l’homme de manière involontaire ou volontaire déplace des plantes pour des besoins d’agricultures, d’élevages, d’ornementations, etc. Mais certaines de ces plantes non-indigènes deviennent extrêmement abondantes et invasives dans leur nouvelle zone d’introduction et posent des problèmes environnementaux et économiques majeurs. Malheureusement la Côte d’Ivoire n’est pas en reste des désastres écologiques causés par les plantes non-indigènes. Nous vous présenterons quelques unes de ces espèces envahissantes et les possibilités de valorisation qu'elles nous offrent.

Tithonia diversifolia
Originaire du Mexique cette plante buissonnante a été introduite partout dans le monde autour de l’équateur et s’y est naturalisée. C’est une Asteraceae (famille botanique)  introduite en Côte d’Ivoire comme engrais vert depuis les années 1950. Cette espèce est actuellement rencontrée sur les terres arables et dans de nombreux écosystèmes agricoles où elle pose des problèmes de désherbage aux agriculteurs. Des travaux consacrés à la plante portent sur son aire de répartition et son importance relative dans la couverture végétale de plusieurs agroécosystèmes, traduites par sa fréquence et son abondance-dominance. Les observations sur le terrain et une enquête réalisée auprès des populations paysannes ont permis de montrer que Tithonia diversifolia est devenue un véritable fléau dans l’environnement agricole du Centre-ouest de la Côte d’Ivoire. Les jachères, les plantations de cacaoyers, de caféiers et les cultures annuelles (riz, igname, etc.) sont envahies par cette plante très compétitive. Sa forte capacité de régénération couplée à sa capacité de production de graines et de germination très élevée, lui permettent de conquérir rapidement l’espace lorsqu’elle est introduite dans le milieu.
Outre ces effets  néfastes, elle est utilisée pour améliorer les sols pauvres auxquels elle apporte de l’azote et du phosphore (engrais biologiques) en plus d’être utilisée comme plante ornementale (bonne plante pour maintenir la santé du jardin).

Pour l’élimination complète de cette plante il faut procéder à l’arrachage complet de l’organisme.


Panicum maximum

Panicum maximum, le Panic maximal, l'herbe fataque ou fataGuinée ou guinée, est une espèce de plantes de la famille des Poaceae (Graminées).
Panicum maximum encore appelé herbe de guinée est originaire d’Afrique ; c’est une graminée vivace cespiteuse de 1 m à 3 m qui produit des feuilles larges de 10 mm à 25 mm et  développe en fin de saison des pluies une grande panicule (le type d’inflorescence)  de 30 cm à 50 cm. En condition naturelle, elle croit dans les clairières en forêt dense, dans les lisières forestières et les bords de routes de la région Guinéenne d’Afrique de l’Ouest. Elle constitue un véritable fléau pour les agriculteurs car elle se reproduit très rapidement et s’adapte aux zones écologiques ayant une pluviométrie allant de 900 à 1800 mm .Cette mauvaise herbe résiste à la sécheresse mais pendant une courte durée et envahi plusieurs types de sols mais ne tolère pas la salinité, elle se développe sur sols argileux ou hydro morphes.
Comme la plupart des graminées elle est utilisée en élevage des bovins (bœuf) des ovins (mouton) et des caprins (lapin, cob aille, agoutis) ; elle constitue donc une plante fourragère très répandu en zone tropicale et est appréciée pour ses rendements élevés, sa facilité de récolte et ses valeurs nutritives par les éleveurs.
 Panicum maximum possède un système racinaire profond qui permet une colonisation du sol, aussi sa faculté de renouveler ses racines offre aux sols une source de matière organique et contribue à un stockage important de carbone dans les sols, cette matière organique tend à améliorer les propriétés physiques et chimique du sol. Tout ceci a un impact positif sur le rendement agricole et sur la texture des sols.

KPLA Florence
Etudiante en Master 2 de Botanique
christyflow@hotmail.fr
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--------------Connaissez-vous les NERICA?--------------
Dans le cadre de la 6ième édition de la Semaine de Promotion de la recherche ivoirienne (SEPRI) et la remise du prix de la recherche, qui s’est tenu les 23 et 24 Janvier 2014, plusieurs centres de recherche se sont vus représenter dans différents stands d’exposition des résultats de leurs recherches. Ainsi, le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) ex Agence pour le Développement de la Riziculture en Afrique de l’Ouest (ADRAO) qui est une organisation de recherche panafricaine œuvrant pour la réduction de la pauvreté et l’atteinte de la sécurité alimentaire en Afrique par des activités de recherche a exposé sur les NERICA.

Qu’est ce que les NERICA ?
Le NERICA est la combinaison de deux espèces de riz : l’espèce africaine Oryza sativa et l’espèce asiatique Oryza glaberrima. La demande en riz en Afrique de l’ouest (principale région du riz en Afrique), croît au taux de 6% par an — plus vite que nulle part ailleurs au monde. Aussi les importations de riz représentent en valeur plus de 25% des importations totales de nourriture en Afrique de l’ouest et du centre. En plus la production interne de riz en Afrique de l’ouest et du centre se fait dans des conditions de subsistance par environ 20 millions de petits producteurs, dont une bonne partie, sont des femmes des zone rurale. Mais il faut croire que la plupart des variétés asiatiques sont fortement sensibles aux insectes ravageurs, aux maladies, aux adventices et aux sols toxiques. Suite à cela, un défi du riz en Afrique s’impose, celui de créer un nouveau type de plante à haut rendement et résistant aux contraintes locales, spécifiquement conçu pour les conditions des petits riziculteurs d’Afrique. Pour assurer La disponibilité alimentaire, L’accès aux aliments et L’utilisation alimentaire au niveau des ménages l’AfricaRice a pris des initiatives novatrices pour relever ce défi dans la région, celles de combiner le meilleur des deux espèces de riz : l’espèce africaine Oryza sativa et l’espèce asiatique Oryza glaberrima.


¨ Le résultat

Le fruit de cet effort, c’est le Nouveau riz pour l’Afrique (NERICA), qui présente plusieurs avantages par rapport aux variétés traditionnelles. Plus de 3000 familles de lignées ont été développées, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle biodiversité mondiale du riz.

Les NERICA sont avantageux en ce sens que les rendements sont plus élevés c’est-à-dire de 50% sans engrais et de plus de 200% avec engrais. Ils arrivent à maturité plus précocement c’est-à-dire de 30 à 50 jours au moins; ils sont plus résistant aux contraintes locales et leur teneur en protéine est plus élevé que chez les variétés traditionnelles, soit de 2%. Les variétés 1, 2, 3 et 4 de NERICA ont été le plus choisies par les paysans dans les essais au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Gambie, au Mali, Guinée, en Sierra Leone et au Togo. Des approches participatives paysannes ont été utilisées avec succès pour l’introduction des NERICA en Guinée. Les paysans Guinéens sont maintenant en mesure de réaliser $65 USD par hectare avec un apport minimal d’intrants et $145 USD avec un apport modéré d’intrants.


Kouadja Sonia                                                                                                             Kpla Florence

Master 2 de Biologie Animale                                                                             Master 2 de Botanique
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4 commentaires:

  1. on sait maintenant que toutes les espèces végétale ont chacune leur importance dans le progrès agricole! merci

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  2. désormais je ne foulerai plus au pieds ces plantes dites envahissante.

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  3. merci oh mais je pense que d'autres articles devront suivre pour nous montrer d'autres plantes envahissantes mais qui ont des rôles écologiques.

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